mercredi 25 mars 2009

Renaissance

http://www.renaissance-lefilm.com/

Film en streaming et download


Renaissance est un film d'animation, polar de science-fiction, co-produit par la France, le Royaume-Uni et le Luxembourg, réalisé par Christian Volckman et sorti en 2006.

Synopsis

L'action se déroule à Paris en 2054. Les voies sur berge de la Seine sont contenues dans des tunnels vitrés, des lofts immenses semblent flotter dans la nuit. Ilona Tasuiev, une jeune scientifique travaillant pour la toute-puissante société Avalon, dont les publicités inondent la ville, est enlevée par un inconnu. L'inspecteur Karas est chargé de la retrouver…

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

L'enquête de l'inspecteur Karas nous mènera dans le passé jusqu'en… 2006 ! À cette époque, les recherches du professeur Jonas Muller sur le génome humain et la progéria furent abandonnées alors qu'elles devaient conduire à l'immortalité. En 2054, Ilona Tasuiev découvre le secret du professeur Muller. Mais ce secret est également convoité par la société Avalon et Paul Dellenbach son vice-président.

Commentaire

Le film utilise la technique du motion capture pour créer un univers réaliste en 3D, sa particularité étant de n'être qu'en noir et en blanc (hormis quelques rares éléments d'un coloriage d'enfant dans la dernière partie du film), avec de rares nuances de gris. Il utilise une technique comprenant de grands aplats noir et blancs très contrastés, des gros plans pris sous des angles insolites, et un travail qui est proche de celui des planches les plus travaillées du Spirit, de Will Eisner. On notera des effets soignés de reflets et de transparence (sur les vitres, etc.), ainsi qu'une image très lisible.

Des logos publicitaires émaillent l'ensemble de l'œuvre, sous forme stylisée : Motorola, Citroën, FNAC… Certaines des voitures futuristes portent le logo Citroën. Le film a d'ailleurs été réalisé en partenariat avec Citroën, qui a mis pour cela à disposition des modèles CAO et de simulation 3D sur des carrosseries expérimentales de ses bureaux d'études.

Plusieurs points de repère situent clairement le lieu du film à Paris, malgré l'éloignement dans le temps : la tour Eiffel, le Sacré-cœur et les stations typiques du métro de Paris dont, notamment, la station Abbesses.

Fiche technique

Distribution

Interprétation corporelle (motion capture)

Voix originales françaises

Voix de la version anglaise

Récompenses

Voir aussi



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Bienvenue à Gattaca



Film en streaming 6 parties


Bienvenue à Gattaca (Gattaca) est un film américain d'anticipation réalisé par Andrew Niccol, sorti en 1997.

Bienvenue à Gattaca
Titre original Gattaca
Réalisation Andrew Niccol
Acteur(s) Ethan Hawke
Uma Thurman
Jude Law
Scénario Andrew Niccol
Musique Michael Nyman
Photographie Sławomir Idziak
Producteur(s) Danny DeVito
Format Format 35 mm
Durée 101 minutes (1h41)
Sortie 1997



Synopsis

Dans un monde parfait, Gattaca est un centre d'études et de recherches spatiales pour des jeunes gens au patrimoine génétique impeccable. Jérôme, candidat idéal, voit sa vie détruite par un accident tandis que Vincent, enfant naturel mais au capital génétique « imparfait », rêve de partir pour l'espace. Chacun des deux va permettre à l'autre d'obtenir ce qu'il souhaite en déjouant les lois de Gattaca.

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

Société

Dans un futur proche et non précisé, une société hautement technologique pratique l'eugénisme à grande échelle : les gamètes des parents sont triés et sélectionnés afin de concevoir in vitro des enfants ayant le moins de défauts et le plus d'avantages possibles.

Bien que cela soit officiellement interdit, les sociétés et employeurs recourent à des tests ADN discrets afin de sélectionner leurs employés ; les personnes conçues de manière naturelle se retrouvent, de fait, reléguées à des tâches subalternes.

Mise en place

Vincent Anton Freeman (Ethan Hawke) est un enfant né naturellement dit naturel ou invalide qui rêve de devenir astronaute et de rentrer à Gattaca : l'unique chance de partir dans l'espace. Ses parents Antonio et Marie Freeman (Elias Koteas et Jayne Brook), partant d'une bonne intention, décident de se passer des services de la science pour leur premier enfant, préférant laisser son avenir au hasard. Malheureusement, dès la naissance, son profil est calculé avec une extrême précision par un ordinateur surpuissant, qui en trois secondes, et d'après une infime goutte de sang prélevée sur l'enfant, indique aux parents médusés et déconfits que leur rejeton ne passera pas la trentaine, souffrant de graves problèmes cardiaques. Commence alors pour les parents un parcours du combattant, car dans cette nouvelle société, même les écoles refusent l'admission d'enfants à risques dans leur enceinte. Il faut bien avouer que l'enfant est particulièrement chétif et maladroit, pour couronner le tout.

Anton Freeman (Loren Dean) a fait l'objet de manipulations génétiques destinées à le « protéger » de la maladie et à en faire un grand de ce monde, le couple ayant décidé de faire appel à la science pour leur deuxième enfant. Le résultat est à la hauteur de leurs espérances. Durant l'enfance, les deux garçons n'auront de cesse de jouer aux frères de sang, de se comparer, et de se lancer des défis de natation... Malgré son net avantage, Anton échoue et est sauvé par son frère de la noyade. C'est « [ce] jour, qui rendit tout le reste possible ».

Evolution

Vincent, devenu adulte, quitte son foyer discrètement, et travaille un temps avec son « handicap » génétique qui le cantonne au rôle d'homme de ménage sous les ordres du sympathique Caesar (Ernest Borgnine). Ne pouvant contempler les cieux qu'à travers le plafond de verre de Gattaca, il décide alors d'enfreindre le système en devenant un pirate génétique ou dé-gén-éré. Il fait appel à un trafiquant pour accéder à son rêve. Moyennant 20 à 25% de ses revenus, il est mis en relation -lui un invalide - avec un valide déchu.

Jérôme Eugène Morrow (Jude Law), ancien champion de natation, était un élément prometteur ayant toutes les qualifications génétiques requises, mais, rongé par son échec (il n'obtint que des deuxièmes places), il voulut mettre un terme à ses jours en traversant une route au passage d'une voiture. Il survécut, mais perdit l'usage de ses jambes donc son rôle dans la société, et l'accident ayant eu lieu à l'étranger, l'affaire ne s'ébruita pas. Paraplégique et porté sur la bouteille, il loue son corps et son identité à Vincent, lui fournit les échantillons biologiques pour les tests ADN (sang, urine, cheveux, peaux mortes, etc.) et prépare des poches de fluides en tous genres, afin de déjouer les nombreuses analyses auxquelles doivent se soumettre les employés de Gattaca.

En échange, Vincent lui permet de garder le même niveau de vie qu'avant l'accident, et même de s'offrir quelques visites. Pour devenir Jérôme et pour contrer sa myopie, Vincent porte des lentilles de la bonne couleur, change sa coupe et couleur de cheveu, affine et nettoie chaque jour chaque parcelle de son corps, s'entraine durement tant au psychique qu'au physique (chose qu'il faisait déjà avant). Il va aussi jusqu'à subir une chirurgie orthopédique pour allonger ses tibias de 5 cm. Après cela, les deux hommes sont définitivement liés et s'estiment mutuellement.

Vincent réussit son entretien d'embauche avec le Docteur Lamar (Xander Berkeley) - grâce à une simple analyse d'urine, censée dépister les drogues - et entre comme élève astronaute à Gattaca où il devient grâce à sa détermination, le meilleur navigateur spatial de la compagnie. Entre ses travaux, ses tests médicaux fréquents, ses sorties avec Eugène (nom désormais porté par Jérôme pour faciliter les choses, tandis que Vincent se fait appeler Jérôme), il répand des traces de sa fausse identité, et efface les vrais indices pour assurer sa sécurité.

Irène Cassini (Uma Thurman) ravissante collègue — qui malgré sa conception parfaite est atteinte de problèmes cardiaques — et Jérôme se mettent à sortir ensemble. Irène cherche à savoir qui il est vraiment par un test ADN, mais ne trouve que l'identité de Jérôme Eugène Morrow. Elle avoue cette bêtise et lui donne un cheveu pour qu'il fasse de même, mais Jérôme laisse le cheveu s'envoler montrant qu'il ne s'attache guère à de tels détails. Tout continue ensuite, de manière parfaitement rodée.

Perturbation

Hélas, une semaine avant de quitter la Terre pour Titan — l'un des satellites de Saturne — son directeur de mission — qui gère les projets et les lancements — est assassiné.

La police — dont Anton fait partie — ne tarde pas à chercher et scruter chaque fibre, squame ou cil pouvant se trouver sur les lieux, afin de déterminer avec une redoutable précision l'identité de celui qui a eu le malheur de les semer et ainsi démasquer l'auteur du forfait. Les inspecteurs trouvent un cil, appartenant à un invalide qui faisait autrefois le ménage… Vincent.

Continuant comme avant mais devant redoubler de précaution, Jérôme poursuit, et développe sa relation avec Irène, échappe à la Police grâce à sa double identité, puis aux tests de Lamar et des inspecteurs par de subtiles manœuvres. Anton, guidé par Irène, va chez Eugène pour un test de sang ... celle ci ne reconnait pas le Jérôme qu'elle aime, s'en suit un face à face Irène-Eugène puis une scène d'explications tumultueuses entre Jérôme qui arrive, et Irène à qui il avoue son secret et son nom, mais cette dernière fuit.

L'enquête aboutit, et le chef en second Directeur Josef (Gore Vidal) est arrété par le Détective Hugo (Alan Arkin). Son mobile : la fenêtre de lancement pour Titan n'est ouverte qu'une fois tous les 70 ans ; le directeur de mission voulait tout annuler, en le tuant, il gagnait du temps pour empêcher cela. La recherche de l'invalide est abandonnée puisque inutile.

Un soir, Jérôme, ou plutôt Vincent, est confronté à son frère qui l'a reconnu. Une dispute éclate en privé. Anton reproche à Vincent le stress de sa disparition et son imposture, mais il est clair qu'il jalouse son frère qui, bien que soit disant inférieur, l'a surclassé. Il lance alors un défi comme lors de leur jeune temps... défi qu'il perd pour la deuxième fois seulement, mais qui lui prouve que Vincent est plus fort et plus déterminé.

Adieux

Peu avant le départ Vincent/Jérôme et Irène réconciliés se revoient, il lui donne un cheveu pour un test ADN et prouver ses allégations passées mais elle réagit comme lui auparavant... le cheveu s'envole. Puis il lui annonce qu'il part pour Titan, dorénavant avec regret.

De retour chez Eugène, Vincent se prépare à partir sur Titan. Tout en discutant, son ami lui montre toutes ses préparations et annonce ses vacances. Jérôme aura prêté son corps à Vincent, mais celui-ci lui a prêté son rêve...

A Gattaca, juste avant le départ, il doit subir une dernière analyse d'urine qui le prend au dépourvu. N'ayant rien pour fausser son identité, il accepte de mauvais cœur, fataliste. Son identité d'invalide au nom de Vincent est révélée aux yeux de Lamar qui valide malgré tout le résultat au nom de Jérôme. Lamar sait depuis longtemps, et son propre jeune fils est dans une situation similaire à celle de Vincent, il ajoute « À l'avenir, les droitiers ne la tiennent pas avec la main gauche, juste pour info. »

Vincent, imposteur, monte dans la fusée qui décolle tandis que Eugène, le vrai Jérôme, se suicide dans son incinérateur domestique, où sa médaille d'argent vire à l'or grâce aux flammes.

Fiche technique

Distribution

Autour du film

  • Dans les génériques (de début comme de fin), les lettres G, A, T et C apparaissent avant les autres, également en référence aux 4 nucléotides, composants de l'ADN.
  • Autre référence aux gènes et à la génétique, le prénom du personnage incarné par Jude Law : Jerome Eugene.
  • Il est possible d'entendre dans le film Bienvenue à GATTACA, les haut-parleurs de l'entreprise dans laquelle travaille le protagoniste de l'histoire faire leurs annonces d'abord en espéranto puis en anglais dans la version originale.
  • Au moment où Vincent souffle la fumée de sa cigarette dans un verre pour suggérer l'aspect de l'atmosphère sur Titan la musique de fond est justement le morceau Nuages de Django Reinhardt. D'autre part le renvoi à Django Reinhardt peut aussi suggérer que même quelqu'un qui est désavantagé au départ peut aller très loin. Django Reinhardt avait en effet perdu l'usage de deux de ses doigts dans un accident mais reste un des guitaristes les plus talentueux de l'histoire du jazz, un parallèle avec le personnage de Vincent est ainsi possible.
  • Le film utilise des tenues, décors,… souvent proches des années 1930, afin de faire une analogie au Parti nazi, et leur politique de ségrégation raciale et de pureté génétique.
  • Les voitures utilisées dans le film ont manifestement été retenues pour leur originalité et leur avant-gardisme au moment de leur sortie : une rare Citroën DS décapotable française et une Studebaker Avanti américaine, ainsi que plusieurs Rover P6 britanniques. Le bruitage rappelle qu'elles sont à propulsion électrique dans le film.
  • L'escalier de la maison que partagent les deux principaux protagonistes est la représentation d'une double hélice d'ADN.
  • L'une des dernières images de fin représente le héros aux côtés d'un Asiatique et d'un Noir, afin de montrer la pluralité de l'espèce humaine et de son génome.
  • Le nom de famille de Jérôme en anglais est Morrow (demain) alors que celui de Vincent est Freeman (homme libre).
  • De nombreuses scènes sont tournées dans le "Marin County Government Center", ouvrage réalisé par l'architecte américain Frank Lloyd Wright en 1957 à San Rafael (Californie).

Éléments d'interprétation du film

  • Si Bienvenue à Gattaca a connu un tel succès, tant critique que public, c'est parce qu'au-delà d'un simple film d'anticipation, à l'image de la dystopie du Fahrenheit 451 de François Truffaut, il aborde de très nombreux sujets brûlants en rapport à notre époque :
    On pourra relever pêle-mêle une dénonciation de l'eugénisme, du déterminisme génétique, ou encore de la part d'amour dans l'enfantement, que les avancées concrètes en matière de fécondation in vitro remettent en question.
  • Mais avant tout, Bienvenue à Gattaca est l'histoire de deux frères : le premier, l'aîné rêveur et « enfant de la providence » que l'on va suivre dans ce processus d'usurpation d'identité parfaite le menant à la rencontre de Jerome Morrow (Jude Law). Le second, le cadet « in vitro » génétiquement optimisé pour réussir, que l'on retrouvera à la fin du film en tant qu'enquêteur dans la police criminelle. Cette fratrie n'est mise en avant qu'aux deux extrêmes du film, ces deux moments critiques (l'adolescence contrariée et la cristallisation du rêve de Vincent, puis le dénouement de l'enquête) servent à exacerber la concurrence entre Anton et Vincent, menant ce dernier à se surpasser malgré tous les pronostics allant à son encontre. Quant à Anton, l'ellipse temporelle de son parcours entre le départ de Vincent du foyer familial et son arrivée à Gattaca met en avant la linéarité de son cheminement vers un poste d'importance moyenne, se contentant de son avantage génétique. Par le biais de cette relation conflictuelle entre les deux frères, le réalisateur met en exergue le mérite à aller de l'avant même lorsque les cartes en main ne sont pas favorables, et pointe du doigt l'absence totale de déterminisme que l'on pourrait chercher dans un code génétique qui ne serait ni plus ni moins qu'une donne et non un itinéraire obligé.
  • Le film est également marqué par le personnage atypique de Jerome Morrow : génétiquement sélectionné, élite parmi les élites, il n'ambitionne pourtant pas de participer au programme Gattaca, et ne possède manifestement pas l'étoffe pour y parvenir (en témoigne sa médaille d'argent [et non d'or] qu'il emporte dans son immolation). Morrow est présenté comme une sorte de dandy, beau déchu dont l'unique préoccupation est de récolter ses empreintes génétiques (peaux, cheveux, ongles, urine et sang) pour que Vincent puisse les utiliser afin de tromper le système Gattaca. Seulement Morrow est confronté à un problème existentiel :
    Il doit accepter de renoncer à sa propre identité et doit aider un inconnu à lui ressembler. Cette partie du film montre un Jerome Morrow se reflétant constamment dans le miroir qu'est Vincent et lui rappelant sa perfection entachée par son handicap moteur. Morrow remplace vite son humeur changeante par un réel amour de Vincent dont il finit par partager l'ambition, celle de voyager vers d'autres planètes.

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THE WISDOM OF CROCODILES (La Sagesse des Crocodiles)



La Sagesse des crocodiles (titre original : The Wisdom of crocodiles) est un film fantastique de Po-Chih Leong réalisé en 1998. Il revisite le mythe du vampire.
Prix spécial du jury au Festival fantastique de Gerardmer.

Fiche technique

  • Titre : La Sagesse des crocodiles
  • Titre original : The Wisdom of crocodiles
  • Réalisation : Po-Chih Leong
  • Scénario : Paul Hoffman
  • Film britannique
  • Date de sortie France : 2000
  • Genre : fantastique, policier, romance
  • Durée : 98 minutes (1h38)
  • Interdit en salle aux moins de 12 ans en France.

Synopsis

Steven, grand séducteur, ne peut pas vivre sans l'amour d'une femme. Lorsque le corps de sa dernière conquête est retrouvé dans la mer, la police le suspecte car une de ses ex-petites amies a également disparu dans d'obscures circonstances... Un thriller fantastique impressionnant : Jude Law (Existenz) en dandy monstrueux incarne un redoutable séducteur.

Distribution

Autour du film

  • Le titre fait référence à la théorie de Paul D. MacLean sur l'évolution du cerveau. Le cerveau reptilien serait selon lui la partie la plus primitive du cerveau, semblable aux cerveaux des reptiles et assurant des fonctions de base (respiration, battements cardiaques, régulation de la température, équilibre). Le personnage principal, Steven Grlscz agit suivant son instinct de conservation qui lui dicte son attitude meurtrière.
  • Ce film a obtenu le prix spécial du jury au festival du film fantastique de Gérardmer en 1999

  • Étude du film ICI

Lien externe



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mardi 24 mars 2009

Cashback


Cashback - Trailer
par ManUnitedFan

Cashback est un film anglais réalisé en 2006 par Sean Ellis et sorti en 2007.

Cashback
Réalisation Sean Ellis
Acteur(s) Sean Biggerstaff
Emilia Fox
Scénario Sean Ellis
Musique Guy Farley
Photographie Alex Barber
Angus Hudson
Montage Carlos Domeque
Scott Thomas
Producteur(s) Lene Bausager
Production Left Turn Films
Distribution Gaumont
Format Couleurs - Scope - HD Video
Dolby Digital
Genre Comédie dramatique
Durée 99 minutes
Sortie 18 mai 2006 (Festival de Cannes)
Langue originale anglais
Pays d'origine Royaume-Uni Royaume-Uni
Fiche IMDb

Synopsis

Ben Willis, étudiant aux Beaux-Arts, se fait plaquer par sa petite amie Suzy. Devenu insomniaque suite à cette rupture, il se met à travailler de nuit au supermarché du coin.

Là, il fait la connaissance de quelques personnages hauts en couleur qui cultivent, chacun à sa manière, l'art de tromper l'ennui pendant les longues heures de travail.

L'art de Ben consiste à imaginer qu'il suspend le temps, ce qui lui permet d'apprécier la beauté du monde "en mode pause" et des êtres qui le peuplent. Il est particulièrement sensible au charme de Sharon, la discrète hôtesse de caisse qui détient peut-être la clé de ses insomnies.

Distribution [modifier]

Autour du film

Cashback est à l'origine un court-métrage[1].

Icône de détail Article détaillé : Cashback (2004).

Références

Voir aussi



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Akira



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Akira (アキラ?) est un film d'animation japonais de 1988, de Katsuhiro Ōtomo, adapté du manga éponyme.

Akira
Titre original Akira アキラ
Scénario Katsuhiro Ōtomo
Izō Hashimoto
Producteur(s) Ryôhei Suzuki
Shunzō Katō
Budget ¥1,100,000,000
US$10,000,000
Durée 124 minutes environ
Sortie 16 juillet 1988
1989-1990
25 janvier 1991
8 mai 1991
9 mai 1991

Fiche technique

Synopsis

Neo-Tokyo, en 2019 (2030 selon les versions colorisées américaine et française) est une mégalopole corrompue et sillonnée par des bandes de jeunes motards désœuvrés et drogués. Une nuit, l'un d'eux, Tetsuo, a un accident en essayant d'éviter un étrange garçon... Il est capturé par l'armée et est l'objet de nombreux tests dans le cadre d'un projet militaire ultra secret pour repérer et former des êtres possédant des prédispositions à des pouvoirs psychiques (télépathie, téléportation, télékinésie...). Mais les amis de Tetsuo, dont leur chef Kaneda, veulent savoir ce qui lui est arrivé car quand il est relâché, il n'est plus le même... En parallèle se nouent des intrigues politiques : l'armée essaye par tous les moyens de continuer le projet en espérant percer le secret de la puissance d'Akira (et de la maîtriser pour s'en servir par la suite), les politiques ne voient pas l'intérêt de continuer à allouer du budget à un projet de plus de 30 ans qui n'a jamais rien rapporté, et un mouvement révolutionnaire qui veut renverser le pouvoir et s'approprier le phénomène Akira à des fins religieuses (il serait considéré comme un « sauveur » par ses fidèles). Et pendant ce temps, Tetsuo teste ses nouveaux pouvoirs et veut s'imposer comme un leader parmi les junkies, ce qui ne plaît pas à tout le monde, en particulier à Kaneda...

NB : l'histoire du film est fondamentalement la même que le manga, mais il existe de nombreuses différences mineures qui contribuent à faire du film une sorte de « deuxième version » de l'histoire. On y voit notamment des personnages-clé du manga changer de rôle ou tout simplement disparaître lors du passage au film (ex : Lady Miyako, Chiyoko, Lieutenant Yamada et même Akira dans une certaine mesure). La seconde partie du manga est tout simplement absente du film, sans doute pour des raisons pratiques évidentes de longueur.

Doublage


Japonais Français
Kei Mami Koyama Barbara Tissier
Shôtarô Kaneda Mitsuo Iwata Mathias Kozlowski
Tetsuo Shima Nozomu Sasaki Alexandre Gillet
Le Colonel Tarō Ishida Pierre Hatet
Kaori Yuriko Fuchizaki Valérie Siclay

Bande originale du film [modifier]

La musique est composée et interprétée par le collectif Geinoh Yamashirogumi. Mélangeant sonorités japonaises, musique traditionnelle balinaise et musique classique, la bande originale est sans doute aussi révolutionnaire et marquante que le phénomène Akira.

Anime comics

Une version papier "Anime Comics" reprennant les images du film est sortie en 2000 au Japon et en 2004 en France.

  • 5 volumes
  • environ 155 pages par volume
  • format poche
  • sens de lecture : français
  • éditeur : Kana

Liens externes



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Peurs Du Noir

Site officiel:
www.PeursDuNoir-lefilm.com

http://www.myspace.com/peursdunoir



Peurs-du-noir-bande-annonce
par Neuvieme-Art

L'exposition Peurs du Noir - Du dessin à l'animation



Pour commander l'expo, les renseignements sont ici.



Les auteurs (autoportraits):



de gauche à droite et de haut en bas:
R. Slocombe, Ch. Burns, R. McGuire, J. Kramsky, E. Robial,
P. di Sciullo, M. Caillou, L. Mattotti, M. Pirus et Blutch.


SYNOPSIS :

Le frôlement rapide de pattes d’araignées sur une peau nue…
Des bruits inexplicables que l’on entend la nuit, enfant, dans une chambre close…
Une grande maison vide dans laquelle on devine une présence…
L’aiguille d’une seringue qui se rapproche inexorablement…
Une chose morte emprisonnée dans un bocal de formol…
Le regard fixe d’un grand chien qui montre les dents…

Autant de frissons que nous avons éprouvés, un jour ou l’autre, comme les auteurs de ce voyage qui nous mène d’un trait au pays de l’angoisse.

Six grands auteurs graphiques et créateurs de bande dessinée ont animé leurs cauchemars, griffant le papier de leurs crayons affûtés comme des scalpels, gommant les couleurs pour ne garder que l’âpreté de la lumière et le noir d’encre de l’ombre.
Leurs récits entrelacés composent une fresque unique, où phobies, répulsions et rêves prennent vie, montrant la Peur sous son visage le plus noir…
Peurs blanches et humour noir pour les salles obscures…

Un film de:
Blutch, Charles Burns, Marie Caillou, Pierre di Sciullo, Lorenzo Mattotti, Richard McGuire.

Avec les voix de:
Aure Atika, Arthur H, Guillaume Depardieu, Nicole Garcia.

Musiques originales:
René Aubry, Boris Gronemberger, Laurent Perez del Mar, George Van Dam.

Direction artistique:
Etienne Robial.



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dimanche 22 mars 2009

Waltz with Bashir (Valse avec Bachir)

http://waltzwithbashir.com/





Valse avec Bachir (en hébreu ואלס עם באשיר ; en anglais Waltz with Bashir) est un film d'animation documentaire réalisé par Ari Folman et sorti en 2008. C'est une coproduction israëlo-franco-allemande. Le film a obtenu de nombreux prix dans le monde, dont le Golden Globe Award du meilleur film étranger et le César du meilleur film étranger en 2009, et était en compétition pour la Palme d'Or 2008 et l'Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2009.


Valse avec Bachir
Image associée au film
Cinéma viennois programmant Valse avec Bachir

Titre original ואלס עם באשיר (Vals im Bashir)
Réalisation Ari Folman
Scénario Ari Folman
Musique Max Richter
Montage Nili Feller
Animateur Tal Gadon, Gali Edelbaum
Producteur(s) Ari Folman
Serge Lalou
Geirhard Meixner
Yael Nahlieli
Roman Paul
Production Bridgit Folman Film Gang
Les Films d'Ici
Razor Film Produktion GmbH
Arte
Format 1,85
Durée 90 minutes
Sortie 13 mai 2008 (avant-première mondiale au festival de Cannes
5 juin 2008 (sortie en Israël)
25 juin 2008 (sortie en France)
Langue(s) originale(s) Hébreu
Pays d'origine Israël Israël
France France
Allemagne Allemagne
Principale(s) récompense(s) - Six Ophirs
- Golden Globe Award du meilleur film étranger
Fiche IMDb

Historique

Le film, proche du questionnement documentaire, aborde la question de la mémoire et de l'oubli. Il s'intéresse en particulier aux soldats israéliens confrontés aux souvenirs du massacre de Sabra et Chatila en 1982 lors de l'intervention militaire israélienne au Liban de 1982 : étaient-ils partie prenante ou simplement spectateurs ? Un tel thème historique est atypique pour un film d'animation.

Cette fresque explore la mémoire du réalisateur, Ari Folman. Il ne cache pas que ce film est basé sur son histoire personnelle, lui dont les nuits sont troublées par des hallucinations[1]. Il est basé sur des interviews réelles, d'amis de l'époque qu'il est allé retrouver. La plupart témoignent sous leur vrai nom. Par ailleurs, Ari Folman précise que les dessins de son film ne sont pas réalisés en rotoscopie. « Chaque dessin du film a été créé de toutes pièces », explique-t-il[1],[2].

Valse avec Bachir est le premier long métrage documentaire d'animation. Un court-métrage documentaire d'animation avait été réalisé en 1994 par Chris Landreth sous le titre Ryan.

Le titre du film fait référence à une scène où, pendant un combat en plein Beyrouth, un officier israélien tire longuement en tournant sur lui-même, effectuant ce qui ressemble à une valse, à quelques mètres d'un immense portrait de Bachir Gemayel. Le récent meurtre de Gemayel fut l'événement déclencheur des massacres de Sabra et Chatila.

Le film était en compétition officielle du 61e Festival de Cannes (2008), où il a reçu un large succès de la critique lors de sa première[3],[4],[5]. Alors que Valse avec Bachir n'a pas été primé lors du Festival de Cannes 2008[6], le film a obtenu le Golden Globe Award du meilleur film étranger en 2009 et a été en compétition avec quatre autres films pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère la même année.

Résumé

En 1982, Ari Folman a vingt ans, et fait son service militaire dans l'armée de son pays. En 2006, il rencontre un ami de cette époque qui lui raconte ses cauchemars, liés à l'opération Paix en Galilée. Folman se rend compte qu'il n'a pas de souvenirs de cette époque. Mais, le soir même, il rêve d'un épisode du massacre de Sabra et Chatila, dont il ne sait pas s'il a réellement eu lieu. Dans son souvenir, il se revoit, avec quelques autres soldats israéliens, se baigner, puis, tous squelettiques, sortir de l'eau, dans la baie de Beyrouth, sous la lumière des fusées éclairantes qui explosent au dessus de la ville.

Il enquête alors sur cette époque, pour savoir ce qui s'est réellement passé pendant la guerre, plus spécialement à Sabra et Chatila où l'armée israélienne a laissé se produire le massacre de palestiniens par les milices chrétiennes libanaises. Le questionnement sur la culpabilité devient alors le thème central de l'œuvre utilisant entre autre une approche psychanalytique d'analyse des rêves[1]. Le film se termine sur des images documentaires réelles, filmées par la télévision britannique lors du massacre dans les camps de réfugiés palestiniens.

Bande originale

L'essentiel de la bande originale a été composée par Max Richter. Ses musiques aident souvent à l'immersion dans les séquences de souvenirs, de rêve ou d'hallucinations, d'autant plus que ces scènes sont des récits d'instants de guerre. L'utilisation de la musique comme partie intégrante de l'œuvre a été relevée par la critique [7]. Les composition sont basées sur l'utilisation de violons et de bois tenant un thème insistant, répétitif, lancinant, soutenues par une percussion souvent limitée à une pulsation sourde (en particulier les toutes dernières scènes dans le camp), et parfois agrémentées d'une entrée en puissance des cuivres et d'autres percussions.

D'autres compositions classiques et chansons ont été utilisées :

Distinction et récompenses

Notes

Liens externes



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